Pour réussir une vinaigrette, il faut respecter quelques petites règles et connaître deux trois astuces.

D’abord, pour que la vinaigrette soit parfaitement homogène, on commencera par dissoudre le sel dans le vinaigre en fouettant bien. Le sel ne se dissout pas dans l’huile, raison pour laquelle il faut commencer par ce mélange. On pourra ensuite ajouter l’huile, le poivre et les éventuels aromates.

Pour épaissir un peu sa vinaigrette, de façon à ce qu’elle enrobe mieux les crudités (notamment la salade), on y ajoutera une bonne cuillère à café de fromage blanc : un petit plus en matière de saveur !

On pensera également à varier les huiles : l’huile de noix et l’huile de noisette sont savoureuses en vinaigrette !

Pour réussir sa recette de mayonnaise, il faut avant tout deux choses : prendre son temps et avoir des ingrédients de même température (donc sorti du frigo depuis un certain temps !).

L’astuce pour faire prendre une mayonnaise qui semble ratée, c’est d’y ajouter une cuillère à café d’eau très froide !

Pour que votre mayonnaise maison ai bon gout, il faut la préparer avec de l’huile de tournesol (neutre en gout) et y ajouter un peu d’huile aromatisée (noisette, herbes de Provence, noix …).

Pour réaliser une mayonnaise allégée, on utilisera du fromage blanc et très peu d’huile.

Point de recette de macaron ici, mais quelques astuces pour réussir ses jolies douceurs aux amandes !

D’abord, au moment du macaronnage (lorsqu’on mélange les blancs d’œuf teintés et monté en neige aux amandes en poudre/sucre), il est primordial non seulement d’y passer du temps, mais surtout d’homogénéiser parfaitement le mélange. C’est là le secret pour éviter les vilaines bulles à la surface des macarons qui les empêchent de « crouter » correctement.

Ensuite, viens l’étape de la cuisson et cette fameuse collerette du macaron qu’il est si difficile d’obtenir ! Pour réussir la collerette de ses macarons, il suffira d’empiler deux voir trois plaques de cuisson l’une sur l’autre. On chemisera la dernière plaque de papier sulfuriser et on dressera ses coques de macaron dessus, à la poche à douille. Avec cette astuce, vos coques de macaron sont réussies à tous les coups !

Enfin, l’étape du « démoulage ». Les macarons ont cuit, leur collerette est jolie … mais ils sont collés au papier cuisson ! Quoi de pire que de casser une jolie coque en essayant de la décoller ? L’astuce toute simple est de soulever délicatement la feuille de papier sulfuriser et de faire couler un filet d’eau entre la plaque et la feuille de cuisson. Cette eau va refroidir les coques et les décoller ! On laissera refroidir l’ensemble 5 à 10 mn avant de décoller ses macarons.

Maintenant, vous êtes paré(e)s pour réussir vos prochaines fournées de macarons !

Le fromage ne doit jamais être conservé dans un film plastique : ce dernier dénature son gout et ne laisse pas l’air circuler.

On conservera son ou ses fromage(s) sur une assiette couverte d’une cloche en verre. C’est la technique de conservation qui vous permettra de conserver les arômes de votre fromage. Le mieux est de placer ce plateau et sa cloche au frigo. On sortira l’ensemble du frigo trois heures avant le repas, pour que le fromage ne soit pas froid.

Si l’on manque de place dans son frigo, l’alternative est de conserver le fromage dans du papier type papier kraft (ou dans le papier utilisé par les fromageries), le tout disposer dans une boite en plastique.

Les olives fraichement cueillies bien que comestibles, ne sont pas bonnes à manger : elles sont beaucoup trop amères ! Le procédé de conservation des olives va donc nécessiter de leur ôter cette amertume et de les sécher pour pouvoir les mettre en bocaux.

On commencera par nettoyer ses olives à l’eau claire. On les incisera à plusieurs endroits et on les placera dans une grande bassine. Chaque jour on effectuera la même chose : on videra l’eau de la veille, on salera généreusement les olives et on couvrira le tout d’eau. Pendant 1 mois et demi on renouvellera cette opération chaque jour.

Au bout de ce délai, gouter une olive. Si elle est bonne au gout, alors vos olives sont prêtes à être conservées !

Pour ce faire, bien laisser sécher les olives (on pourra les rouler dans un torchon).

On stérilisera de grands bocaux que l’on remplira d’olives sèches. On ajoutera les aromates de son choix (thym, romarin, piment, poivre, laurier …) et couvrir d’huile d’olive. Fermer les bocaux et bien secouer.

A conserver au frais, dans une cave !

On ne le dira jamais assez : la meilleure façon de conserver les truffes (et notamment leurs arômes), c’est de les consommer rapidement !

Si l’on souhaite conserver ses truffes quelques semaines on les placera dans un bocal dans lequel on limitera l’humidité : On le tapissera de papier absorbant ou de riz. On peut même immerger totalement les truffes dans le riz pour prolonger un peu plus leur conservation.

Et si vos truffes ont moisies, ne les jetez pas ! Émincez les finement et répandre les débris au pied d’un chêne ou d’un noisetier, vous pourrez ainsi en récolter d’autres l’année suivante !

Les oignons ont tendance à se dessécher quand ils sont conservés dans la cuisine, à l’air libre. Pour prolonger leur durée de conservation, on pourra les placer dans le bac à légume de son frigo. On pourra également les conserver dans un bocal à oignon en prenant soin de tapisser le fond de ce dernier de gros sel (qui les empêchera de germer).

Les carottes placées au frigo ne se conservent pas très longtemps : elles noircissent et deviennent impropres à la consommation. Le truc de grand-mère pour conserver ses carottes longtemps, qu’elles viennent du super marché ou directement de votre potager, c’est de les conserver dans du sable !

En fonction de votre quantité de carottes à conserver, remplissez un bac (vieille cuvette par exemple) de sable, vous y enfouissez vos carottes et placez le tout dans un endroit frais (garage, cave …). Vous pourrez ainsi conserver vos carottes plusieurs mois durant !

Cette astuce fonctionne également pour conserver les pommes !

Quelles proviennent de votre jardin ou de la grande surface du coin, il n’y a pas 36 solutions pour conserver les pommes : soit on les garde tel quel, soit on les transforme.

Garder des pommes entières

Vous venez d’acheter votre réserve de pomme pour deux semaines mais vous craigniez qu’elles ne tiennent pas jusqu’au 15^ème jour ? Placez votre lot de pomme dans le bac à légume de votre frigo. Pensez à sortir quelques pommes tous les deux ou trois jours pour les consommer à température ambiante.

Vous avez passé la journée à récolter les pommes du vieux pommier du jardin ? Vous en avez pour tout l’hiver ? Commencez par consommer celles ramasser à terre. Leur chute les aura talée et accélérera leur vieillissement. Celles cueillies sur l’arbre seront étalées queue vers le bas, dans des cagettes couvertes de papier kraft. On empilera ces cagettes pour que l’ai puisse circuler partout autour des fruits. Tout ce petit monde sera placé dans une cave fraiche, obscure et pas trop humide. Conservation jusqu’au bout de l’hiver garantie !

Cuisiner les pommes pour les conserver

Il y a quantité de façon de cuisiner les pommes pour les conserver : jus, compote, confiture … On notera que la compote peut se conserver aussi longtemps que la confiture ! Il suffit de stériliser de grand pot à confiture, d’y verser la compote bouillante, de fermer le couvercle et de retourner le tout !

Avant de faire cuire ses châtaignes, il faut les entailler pour éviter qu’elles n’éclatent !

On les déposera ensuite sur une lèchefrite et on les enfournera à four moyen. A la sortie du four, on les laissera tiédir puis on les écossera (sans se bruler !).

On peut également cuire ses châtaignes ou marrons dans une cocotte minute, avec un fond d’huile, dans une poêle ou même dans l’eau !

On pourra faire cuire son riz de deux façon : version pilaf ou à la créole.

La cuisson du riz pilaf

Il s’agit de faire revenir ses grains de riz dans un peu d’huile jusqu’à ce qu’ils soient translucides. On verse dessus deux volumes d’eau pour un volume de riz, on couvre et on laisse cuire ¼ d’heure. On pensera à saler et poivrer avant d’ajouter l’eau !

La cuisson facile du riz : à la créole

Des deux méthodes, c’est la plus simple : on porte à ébullition un grand volume d’eau salée dans une casserole. On y verse le riz et on laisse cuire comme des pâtes, en goutant de temps en temps. Une fois le degré de cuisson désiré atteint, il suffit d’égoutter. Pour améliorer cette recette de riz facile ; on pensera à aromatiser l’eau de cuisson du riz, avec des cubes de bouillon par exemple !

Les cèpes ce sont ces champignons à pied rond et blanc et à chapeau marron ocre. Avant de songer à le faire cuire, il faut songer à le débarrasser des petites bêtes qui pourraient s’y loger.

Laver les cèpes

Pour ce faire, on plongera le champignon entier dans de l’eau additionnée de vinaigre et ce, pendant quelques minutes.

Si vos champignons viennent du super marché, vous pouvez zapper cette étape !

Cuisson des cèpes

Pour ce qui est de la cuisson à proprement parler :

Dans une poêle, faire revenir un peu d’ail dans de l’huile. Découper les champignons en lamelles. Jeter les lamelles de cèpes dans la poêle et laisser cuir. Les cèpes vont libérer de l’eau. On considérera que la cuisson est terminée quand toute cette eau se sera évaporée.

Une fois les champignons cuits, on pourra les utiliser comme accompagnement ou on cassera des œufs dans la poêle, pour faire une omelette aux champignons !

La célèbre recette des moules frites ! Soit on aime, soit on déteste !

Autant la préparation des frites est connues : on coupe des patates et on les fait frire, autant la préparation des moules est nettement moins connue.

Pourtant c’est extrêmement simple puisque les moules, ça se cuit … à l’eau ! Après les avoir nettoyé, lavé et trié en les rinçant plusieurs fois et en aillant éliminé les spécimens qui flottent, cassés ou entre-ouvert, on pourra cuire les moules.

Pour ce faire, on fait revenir de l’ail et de l’échalote dans un grand fait tout avec du beurre fondu. On ajoute des aromates et du vin blanc. On verse les moules par-dessus et on couvre d’eau.

On couvre le fait tout et on laisse cuir à petits bouillons pendant 5mn. Une fois les moules cuites, elles s’ouvrent !

Les plaques vitrocéramique et les plaques à inductions sont ces plaques de cuisson extra plates puisqu’il s’agit ni plus ni moins que de vitres ! Le problème, c’est qu’elles se rayent facilement.

S’il existe des liquides de nettoyage spéciaux pour ce type de plaque, on est presque toujours obliger de nettoyer les dépôts tenaces à l’éponge. Et en utilisant le coté vert de l’éponge, on raye nos plaques à tous les coups !

Alors comment nettoyer ses plaques sans les rayer ?  Tout simplement avec une lame à vitre. On en trouvera au rayon bricolage : il s’agit d’une lame de rasoir enchâssée dans un outil avec un manche. Son usage habituel est le nettoyage des taches de peinture sur les vitres. Mais ça marche à merveille sur les plaques à induction et vitrocéramique !

On passera une éponge mouillée sur ses plaques. On grattera les dépôts à l’aide de la lame à vitre. On localisera les dépôts en passant ses mains sur les plaques.

Une fois les dépôts décollés, on essuiera avec une éponge mouillée et pour éviter les trace, on lustrera la surface avec un torchon : plaques comme neuves garanties !

A noter : plus la lame de rasoir est perpendiculaire à la surface qu’elle gratte, plus elle est efficace.

Deux solutions s’offrent à nous : l’une rapide, l’autre traditionnelle.

Avec le couscoussier

La version traditionnelle nécessite un peu de temps et surtout, un couscoussier !

On dispose la graine sèche dans le haut du couscoussier et on la passe sous le robinet pour mouiller le couscous. On transvase la graine mouillée dans un grand plat. On verse de l’huile d’olive dessus et on mélange bien. On pense à saler !

On verse la graine dans le haut du couscoussier qu’on place sur le couscoussier rempli d’eau en ébullition. Quand la vapeur d’eau traverse l’étage de graine (on la voit s’évaporer au dessus), on attend 2 minutes.

On transvase la graine dans le grand plat et on ajoute une noix de margarine. On mélange bien et on verse le tout dans le haut du couscoussier.

On laisse à nouveau l’eau passer à travers l’étage de couscous.

Pour finir, on transvase le tout dans le grand plat et on ajoute une seconde noix de margarine. On mélange bien et voila !

Version rapide, à la casserole

La graine de couscous que l’on trouve dans nos super marchés est généralement précuite. Ainsi, on peut les cuire rapidement à la casserole.

Pour ce faire, on commence par huiler et saler la graine directement dans la casserole. On la place sur le feu et on ajoute de l’eau, petit à petit. En mélangeant sans cesse, la graine va absorber ces apports d’eau et se gonfler. Elle est prête dés qu’elle est souple !

Il est parfois utile de précuire une pâte feuilletée : quand la farce est gorgée d’eau et empêchera sa bonne cuisson.

Mais une pâte feuilletée cuite seule a tendance à gonfler ! Pour éviter ce désagrément, on a pour habitude de disposer des fruits secs (flageolets notamment) par-dessus. Oui mais voila, ces derniers se retrouvent coincés entre le bord et le fond de tarte ou même enchâssés dans le fond de tarte : il devient difficile de les déloger sans abimer le fond de tarte et/ou sans se bruler !

L’astuce est de disposer une feuille de papier sulfurisée entre le fond de tarte et les fruits secs. Ainsi la tarte ne gonflera pas, sera parfaitement cuite et surtout, on la débarrassera des fruits secs en un clin d’œil !